Nous n’eûmes pas à attendre très longtemps et des pas nous annoncèrent son retour. Mon excitation était à son comble et mon stress aussi. Nous n’aurions probablement aucune autre chance, il fallait donc ne pas gâcher celle-ci. Attendre patiemment qu’il soit dans la meilleure position pour une attaque coordonnée, voila qui paraissait presque au-delà de la résistance de mes nerfs. Alors qu’il pénétrait dans la cellule avec le plateau chargé qu’il allait poser par terre j’avais l’impression que mes muscles tremblaient et que mes nerfs allaient craquer. C’est au moment où il se pencha pour déposer le plateau au sol que nous l’attaquâmes.