Hier soir je suis allé traîner dans le marais avec une chemisette mauve à col blanc que je venais d'acheter. Je l’avais trouvé superbe sur l’étalage mais je m’aperçois qu’elle est plutôt de mauvais goût lorsque je regarde les autres garçons autour de moi. Qu’importe, je suis jeune, beau et je sens qu’on me remarque alors qu’il y a peu j’étais l’homme invisible qui tentait de se rendre plus invisible encore. Quelqu’un m’offre une bière, ça sera plutôt un soda. Il a la trentaine, se prénomme Alexis, une barbe et un crâne mal rasés qui lui donnent un sex-appeal ravageur. Ses yeux sont d’un bleu profond, tout comme sa voix grave. J’admire ses bras poilus en imaginant ce que cache le débardeur sous lequel deux tétons durs pointent. Je voudrais le lui retirer tout de suite, là, devant tout le monde. Je voudrais passez ma main sur son crâne et sentir la râpure de ses cheveux. J’ai senti celle de sa barbe lorsqu’il a approché ses lèvres et que je n’ai pas refusé son baiser. Il me murmure à l’oreille :
- on va chez moi ?
Notre déshabillage et les préliminaires sont vite expédiés et on se retrouve nus dans son lit à s’embrasser avec passion frottant chacun son érection sur le pubis de l’autre. Je désire lui rendre la caresse que j’ai découverte quelques jours plus tôt alors je lui demande de s’accroupir au dessus de mon visage. Son entrejambes est moite, rasé de près, légèrement piquant et fleure le propre, je l’attire à moi et j’entreprends de lécher consciencieusement cette partie de son anatomie. Mes mains caressent ses bourses et son sexe. Lui ne reste pas inactif et branle mon membre délicatement. Il se dégage et dans un mouvement rapide se recule et présente son gland à ma bouche. Il a un membre de taille impressionnante pour moi qui n'avait vu que le mien il y a peu de temps, pas trés gros mais bien long, au moins dix neuf centimètres, certainement plus. Je suis toujours sur le dos, j’ouvre les lèvres sur ce fruit avec gourmandise. Il s’enfonce lentement mais impitoyablement dans ma bouche. Il saisit ma verge avec ses lèvres et s’applique à me prodiguer le même plaisir. Le voici qui me remplit tout le palais et il continue sa progression. De mes mains je tente de le repousser un peu alors, sans lâcher mon vit, il se saisit de mes poignets et les immobilise le long de mon corps. La progression de son membre reprend. Il est bientôt au fond de ma gorge, j’essaie de me dégager en tournant la tête alors il resserre ses cuisses pour m’en empêcher. Il pénètre ma gorge, il va me faire vomir s’il ne se retire pas. Je ne peux plus respirer, je commence à paniquer alors qu'il continue jusqu’à ce que mon nez soit écrasé par ses couilles et mon menton par son pubis mais je suis en même temps terriblement excité. Ainsi, m’empalant par la bouche dans toute la longueur et m’asphyxiant, m'écrasant le visage de tout son poids et me privant de mouvements, il reprend sa succion sur ma bite et j’explose aussitôt dans une immense jouissance dans sa bouche. Un orgasme d'une force et d'une intensité qui dépasse tout ce que j'étais capable d'imaginer. Je découvre un nouveau versant de ma personnalité qui m'excite bien plus qu'il m'effraie mais il faudra vraiment que je fasse quelque chose pour lutter contre ma précocité.
Alexis jouira entre mes fesses. Je suis aux anges, lové contre son corps, savourant ce moment paradisiaque, me réchauffant à la chaleur de sa peau, prêt à sombrer dans les bras de Morphée entre ceux d'Alexis, lorsqu’il me dit de rentrer chez moi. Douche froide. Je lui demande si on pourra se revoir et il me répond par la négative. Douche glacée. Je n’étais qu’un plan cul de plus pour lui, rien d’autre.