J’ai déjà vu quelque part l’homme à qui je viens d’ouvrir la porte mais je ne me souviens pas où. Oui, voila, sur un plateau de télévision. Il y a quelques mois il venait y parader sous prétexte qu’il avait été réélu député. L’homme disparaît dans le salon qui prolonge l’entrée monumentale ce cet appartement du XVI ème arrondissement de Paris. On pourrait construire quatre chambres de la taille que j’occupe dans mon hôtel rien que dans cette entrée. Les autres pièces que j’ai pu visiter sont en proportion.
Tout à l’heure Monsieur Claude me disait qu’il avait tout spécialement choisi pour moi une prestation facile. Je devais servir à table pour un dîner avec huit convives. Je ne devais pas poser de question et faire tout ce qu’on me dirait de faire sans rechigner. Qu’on ne me ferait aucun mal ni aucune violence. Je serai payé 500 euros en liquide pour ma prestation. Sur cela je reverserai 150 euros à Monsieur Claude sans rien dire à personne, le reste était pour moi.
Je suis arrivé chez ce monsieur à l’heure convenue. C’est le majordome qui m’a accueilli. Il m’a fait me laver, me raser soigneusement et m’a donné la tenue que j’aurais à porter pendant le service. Il m’a conduit à travers l’appartement pour m’indiquer ce que j’aurais à faire puis m’a laissé seul dans une immense salle de bains en marbre munie de tout ce dont on peut avoir besoin. J’ai pris grand soin de moi. Je me suis parfumé, pas trop comme recommandé. Puis j’ai enfilé la tenue qu’on m’a fournie. C’est une panoplie de soubrette, coiffe comprise, dans un excellent tissu. Ça m’a beaucoup amusé, moi qui ne me suis jamais travesti et qui n’y ait même jamais pensé. J’ai trouvé tout de même la longueur de la jupe un peu courte. Le majordome a enfin contrôlé mon apparence. Il a réajusté la taille. Il a soulevé le jupon et m’a ordonné d’ôter mon slip.
Les invités sont désormais tous arrivés. Il n’y a que des hommes. Certains m’ont flatté la croupe en passant près de moi. Un tel a laissé tombé son mouchoir et m’a fait comprendre que je devais le ramasser. Le majordome est venu me corriger. Je ne dois pas plier les genoux pour ramasser un objet mais me pencher en avant. Le cuisinier me donne un plateau de flûtes de champagne à servir aux invités pour l’apéritif. Alors que je tends les coupes à un petit groupe une main queje n’avais pas vu approcher, masquée par le plateau, effleure mes couilles. La surprise manque me faire lâcher ce que je tiens et déclenche quelques rires. D’autres, encouragés, imitent cette première caresse. Lorsque de retour à la cuisine je peux vérifier mon état je constate que mon érection soulève totalement la jupette et se trouve donc exposée aux regards de tous.