Initiation

Eric laissa les pinces faire leur travail et s’empara d’une bougie qu’il alluma et dont il fit couler la cire sur mon dos, mes omoplates, mes fesses et tout particulièrement mes couilles tendues par la ficelle qui les reliait au sommet de mon crâne. Mon membre, en totale érection, frottait voluptueusement contre le drap, aidé par les mouvements que la douleur me faisait accomplir, me rapprochant chaque fois un peu plus de l’orgasme. Je voulais me soustraire à cette cire bouillante qui coulait maintenant sans discontinuer sur mes couilles ; la douce brulure allait me faire jouir lorsque subitement Eric reposa la bougie. Il se plaça devant mon visage, retira le bâillon qu’il m’avait placé et présenta son membre démesuré à ma bouche gourmande. Évidement que je ne fis aucune difficulté pour l’ouvrir et engloutir autant que je pouvais ce sexe délicieux mais Eric n’était pas satisfait, la taille et la courbure de sa verge ne lui permettait pas de l’enfoncer bien loin dans ma bouche, elle butait au niveau de ma glotte. Le passage serait certainement plus ouvert si j’étais sur le dos plutôt que sur le ventre, il s’amusa tout de même un bon moment à baiser ma bouche et je m’en délectais.

Il se saisit d’un petit anneau à l’extrémité de la ficelle qui reliait ensemble les pinces à linge qu’il m’avait placé sur le flanc droit et la tendit à plusieurs reprises m’occasionnant des gémissements de douleur, puis, sans prévenir, d’un coup sec et précis, il tira vivement faisant sauter les pinces les unes après les autres jusqu’à les avoir toutes arrachées de ma peau. La douleur fut énorme, intense et inattendue et je poussai un monstrueux cri de douleur. J’avais instantanément et totalement débandé tant la douleur était puissante et durable et mes cris ne s’arrêtaient pas malgré l’ordre qu’il me donnait de cesser. Il se saisit alors d’une cravache et entreprit de taper sur mes couilles tendues, faisant sauter la couche de cire qui s’y était formé en refroidissant, comme une carapace. Il me menaça de continuer tant que je ne me tairais pas, alors je serrai les dents et je fis silence. Il se saisit ensuite de l’anneau sur l’autre ficelle, celle du flanc gauche, et me fit sentir sa puissance en tirant légèrement dessus avant de réitérer ce qu’il venait de faire et d’arracher toutes les pinces d’un coup brutal me faisant pousser à nouveau des hurlements de douleur.

Dim 31 jan 2010 Aucun commentaire