Initiation
De mon coté je recherchai d’autres contacts avec plus de soin que le premier. Le second, Eric, fut plus satisfaisant. Tout d’abord il ne trichait pas sur son âge. Il avait la quarantaine bien avancée et avait été jadis esclave pendant de longues années avant de développer, depuis une dizaine d’années, une envie de dominer. Il savait donc ce qui devait être fait et comment le faire. Il avait pratiqué en recevant puis en donnant de nombreuses fois. Nous ne parlâmes pas de la taille de son membre alors qu’il aurait pu s’enorgueillir d’un ou plusieurs T dans sa description. Si le précédent, qui se disait déjà TBM, avait été doté comme celui-ci il aurait certainement multiplié par cinq ou six le nombre de T. Eric m’avait envoyé une photo du matériel dont il disposait et qui faisait rêver le soumis que je devenais. Moi-même j’avais fait l’acquisition quelques gadgets que je lui menai pour qu’il les testât sur moi. Il n’était pas beau à vrai dire mais bien conservé. Son petit embonpoint ne nuisait nullement à son sex-appeal. Ses cheveux courts et grisonnants lui donnaient un petit air pervers qui m’excitait beaucoup et que son bouc, entièrement blanc complétait avec bonheur.
Il m’attacha de façon professionnelle, les chevilles aux hauts des cuisses, les genoux bien pliés, les bras dans le dos, poignets joints, coudes aussi rapprochés que possible. Il m’équipa d’un harnais de tête muni d’un anneau au haut du crâne et qui lui permet de placer dans ma bouche toute sorte de bâillons différents, gonflable, à tube, équipé d’un pénis en latex qui interdisait toute parole ou de deux pénis, un pour l’intérieur de la bouche l’autre à l’extérieur pour un quelconque cul qui voudrait s’y empaler. Il attacha une ficelle à mes couilles serrées qu’il relia à l’anneau de l’harnais ; tendue entre mes fesses elle tirait ma tête à la renverse. J’étais sur le ventre en totale érection attendant le doux supplice qui allait suivre. Il plaça une rangée de pinces à linge sur mes flancs. Il commença à mes aisselles, descendit de chaque coté de mon tronc jusqu’à mes fesses, fit un S sur celles-ci remontant sur mes fesses pour redescendre entre elles et continue à l’intérieur de mes cuisses. Toutes ces pinces étaient reliées par une ficelle qui permettait de tirer dessus et d’améliorer ainsi le supplice. Elles m’échauffaient la chair et, comme chacun le sait, elles allaient occasionner une douleur d’autant plus vive qu’elles seraient restées longtemps à pincer.