Initiation

Complètement paniqué je me laissai faire. N’ayant qu’un seul bâillon ils m’enfoncèrent le slip sale de David dans la bouche et firent plusieurs tours de ma tête avec un ruban adhésif. Puis ils me font assoir sur une chaise devant la porte et ils m’y fixèrent les chevilles et les poignets avec le ruban. Stéphane remit le bâillon dans la bouche d’Alexandre et l’attacha dans sa nuque.

La séance commençait. Stéphane et David s’en donnaient à cœur joie, excités par les expressions de souffrance d’Alexandre. Mon ventre se noua et l’apitoiement m’assaillit à cette vue. Je voulais le protéger et je ne le pouvais pas. Je ne pouvais que gémir et tenter de pousser des cris étouffés mais ça ne servait à rien. J’avais le sentiment qu’ils allaient tuer mon Alexandre et s’il mourrait quelle serait ma raison de vivre ? Je me débâtis mais David, qui m’avait attaché, était un expert. Je ne pouvais me défaire de mes liens.

J’avais vue sur la croupe d’Alexandre, ses couilles serrées et tendues. Au delà je voyais se balancer les poids au bout des pinces qui mordaient cruellement ses tétons. Je ne voyais pas sa tête mais je connaissais sa souffrance par ces mouvements désordonnés lorsqu’il tentait d’éviter les coups.

Stéphane se saisit d’une chaussure par la pointe et tapa sur les couilles d’Alexandre avec le talon. Son cri, bien qu’étouffé par le bâillon, fut fort et ses mouvements convulsifs continuèrent un bon moment après le coup de talon démontrant, s’il le fallait encore, la souffrance qu’il endurait.

Quand enfin il se calma un autre coup s’abattit lui arrachant un nouveau cri. Puis, dans le moment de répit qui suit, on l’entendit tenter de parler. Les mots en était presque incompréhensibles mais je reconnais aisément « stop », « assez », « arrêter ».

David et Stéphane se regardèrent.

- Qu’est qu’il dit ?

- Chais pas, j’comprend rien !

Mer 13 jan 2010 Aucun commentaire