Initiation
La sonde avait atteint mon gland et les doigts experts de David ouvrirent l’urètre que la sonde allait perforer. La douleur fut vive et indescriptible. Elle progressait lentement mais surement en
profondeur. Stéphane ne tapait plus sur mes fesses, il laissait David s’occuper de ce délicat ouvrage. Je gémis de douleur, une souffrance que je ne connaissais pas et qui devait ressembler aux
effets de la chaude-pisse. La progression de la sonde dura une éternité mais j’anticipais avec crainte quand elle serait reliée à l’appareil et que les premières impulsions électriques viendraient
se déverser en moi.
La sonde en place, Stéphane reprit la fessée qu’il avait interrompue. Une caresse sur une fesse et sans prévenir un coup sec me faisant gémir. Puis une autre caresse. La durée des caresses n’était jamais la même. Parfois la palette s’écartait de mes fesses pour revenir les caresser au moment où j’attendais le coup. Ce qui faisait que je ne savais jamais quand viendrait la brulure.
Devant mon regard effrayé je vis David réaliser la connexion de la sonde à l’appareil à impulsions. Il se saisit de poids qu’il rajouta aux pinces qui tiraient mes tétons. La douleur à cet endroit était diffuse et chaude, pas désagréable, parfois intense quand il faisait balancer les poids. Puis il pressa des boutons sur l’appareil et je sentis un chatouillement à l’intérieur de ma bite. C’est à ce moment que le coup de palette, au lieu de s’abattre sur mes fesses, tomba sur mes couilles me prenant par surprise et me tirant un cri que personne n’entendit, étouffé par le bâillon.
Les doigts de David couraient sur les touches de l’appareil et le chatouillement se transforma progressivement en contractions désagréables, puis en morsures douloureuses, un peu comme si on m’enfonçait des aiguilles à l’intérieur de ma bite. Il se saisit d'un martinet à multiples lanières et l'abattit sur mon dos sans défense.
La durée des caresses entre les coups de palette se réduisait, augmentant la fréquence des coups qui pleuvaient sur mes fesses, mes cuisses et parfois sur mes couilles, les échauffant petit à petit.
La sonde en place, Stéphane reprit la fessée qu’il avait interrompue. Une caresse sur une fesse et sans prévenir un coup sec me faisant gémir. Puis une autre caresse. La durée des caresses n’était jamais la même. Parfois la palette s’écartait de mes fesses pour revenir les caresser au moment où j’attendais le coup. Ce qui faisait que je ne savais jamais quand viendrait la brulure.
Devant mon regard effrayé je vis David réaliser la connexion de la sonde à l’appareil à impulsions. Il se saisit de poids qu’il rajouta aux pinces qui tiraient mes tétons. La douleur à cet endroit était diffuse et chaude, pas désagréable, parfois intense quand il faisait balancer les poids. Puis il pressa des boutons sur l’appareil et je sentis un chatouillement à l’intérieur de ma bite. C’est à ce moment que le coup de palette, au lieu de s’abattre sur mes fesses, tomba sur mes couilles me prenant par surprise et me tirant un cri que personne n’entendit, étouffé par le bâillon.
Les doigts de David couraient sur les touches de l’appareil et le chatouillement se transforma progressivement en contractions désagréables, puis en morsures douloureuses, un peu comme si on m’enfonçait des aiguilles à l’intérieur de ma bite. Il se saisit d'un martinet à multiples lanières et l'abattit sur mon dos sans défense.
La durée des caresses entre les coups de palette se réduisait, augmentant la fréquence des coups qui pleuvaient sur mes fesses, mes cuisses et parfois sur mes couilles, les échauffant petit à petit.
Mer 6 jan 2010
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