Initiation
Ils étaient été surpris par ma demande, me demandèrent des précisions sur mes désirs, mes limites, mon expérience et mes motivations. Je mentis pas mal, m’inventant des expériences ayant peur
qu’ils soient réticents à passer à l’acte s’ils découvraient que j’étais un novice. Je ne leur révélai pas ma véritable motivation, leur disant simplement que ça m’excitait terriblement et que ça
me faisait jouir, chose que la séance était censé m’apprendre. Je ne sais pas s’ils me crurent mais le fait est que peu de temps après j’étais attaché comme une dinde attendant d’être enfournée,
mon poignet gauche ficelé à ma cheville gauche, mon poignet droit à la droite, mes coudes aux genoux avec les avant-bras le long des jambes, mes pieds, mes jambes, mes épaules et ma tête reposant
sur le matelas, mon cul pointant vers le plafond ; il ne manquait que la farce. Ils rajoutèrent une corde pour relier mes chevilles aux pieds du lit les maintenant dans une position écartée très
inconfortable. Un harnais de tête équipé d’un bâillon boule m’interdisait la parole. Et je bandais.
Ils étaient derrière moi et je les sentis m’induire les fesses et la raie d’un produit froid, certainement du lubrifiant, puis David me présenta un godemiché d’une taille respectable et il le dirigea vers mon anus ; ce n’était pas de marrons qu’ils allaient me farcir. A l’arrière de ma tête Stéphane jouait avec mes seins, il tritura, pinça, tordit mon téton gauche pendant un long moment puis je sentis une morsure vive lorsqu’il y plaça une pince. Ses doigts se déplacèrent sur mon téton droit. Je pouvais alors voir dans le miroir de la chambre ses doigts travailler à me martyriser le téton, puis je vis une pince munie d’un poids s’approcher et mordre ma chair comme tout à l’heure une autre pince similaire avait mordu mon téton gauche. Les poids se balançant sous moi instillaient une chaude douleur dans mes seins.
Pendant ce temps, la tête du gode n’avait pas cessé de me caresser la raie et elle me perfora au moment précis où la pince se referma sur mon téton droit m’arrachant un gémissement de surprise, étouffé par la boule qui occupait ma bouche. Le membre en latex poursuivit sa progression impitoyable dans mon fondement, puis, au bout de plusieurs centimètres, repartit en marche arrière jusqu’à être presque totalement ressorti avant de reprendre sa progression en avant, pénétrant de quelques centimètres supplémentaires. Ces va et vient continuèrent un bon moment. L’autre tortionnaire, Stéphane, ne restait pas inactif, il se saisit de mes bourses et entreprit de les ligoter serrées. Avec une ficelle il tourna, retourna et retourna encore autour de mon scrotum, emprisonnant les testicules dans un sac de plus en plus petit et serré.
Ils étaient derrière moi et je les sentis m’induire les fesses et la raie d’un produit froid, certainement du lubrifiant, puis David me présenta un godemiché d’une taille respectable et il le dirigea vers mon anus ; ce n’était pas de marrons qu’ils allaient me farcir. A l’arrière de ma tête Stéphane jouait avec mes seins, il tritura, pinça, tordit mon téton gauche pendant un long moment puis je sentis une morsure vive lorsqu’il y plaça une pince. Ses doigts se déplacèrent sur mon téton droit. Je pouvais alors voir dans le miroir de la chambre ses doigts travailler à me martyriser le téton, puis je vis une pince munie d’un poids s’approcher et mordre ma chair comme tout à l’heure une autre pince similaire avait mordu mon téton gauche. Les poids se balançant sous moi instillaient une chaude douleur dans mes seins.
Pendant ce temps, la tête du gode n’avait pas cessé de me caresser la raie et elle me perfora au moment précis où la pince se referma sur mon téton droit m’arrachant un gémissement de surprise, étouffé par la boule qui occupait ma bouche. Le membre en latex poursuivit sa progression impitoyable dans mon fondement, puis, au bout de plusieurs centimètres, repartit en marche arrière jusqu’à être presque totalement ressorti avant de reprendre sa progression en avant, pénétrant de quelques centimètres supplémentaires. Ces va et vient continuèrent un bon moment. L’autre tortionnaire, Stéphane, ne restait pas inactif, il se saisit de mes bourses et entreprit de les ligoter serrées. Avec une ficelle il tourna, retourna et retourna encore autour de mon scrotum, emprisonnant les testicules dans un sac de plus en plus petit et serré.
Lun 4 jan 2010
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