Initiation

L'homme assis au bar regarda les deux hommes ressortir de la pièce. C'était son tour, il vida le verre du reste de liquide rapidement. Après tout il n'étais pas venu ici pour la qualité du whisky qui était servi, même s'il devait reconnaître qu'il était excellent. Il reposa son verre, prit son sac puis se dirigea vers la pièce. Les deux garçon étaient des pures beautés. Ils ne se doutaient pas le moins du monde de ce qui les attendait. L'homme ressentit un regain d'excitation à se dire que ça allait être de si belle créatures qui allaient périr de sa main. Il fut satisfait de constater que le plus beau des deux était aussi celui qui allait souffrir le plus intensément. Il espérait qu'il serait suffisamment résistant pour ne pas écourter son plaisir en s'évanouissant ou pire. En cas d'évanouissement il avait de quoi, dans son sac, lui rendre les esprits rapidement.

Il posa son sac au sol, se dévêtit en un clin d'œil, retira le bâillon de J., et enfonça dans la bouche son sexe encore flasque. J. commençait à le sucer mais l'homme lui intima l'ordre de cesser, de juste le prendre en bouche sans rien faire d'autre. Il garda donc cette nouille molle dans la bouche, les couilles écrasées sur mon nez. Ce n'était pas difficile. Il pensait que l'homme souhaitait laisser sa bite lentement bander dans sa bouche pour la remplir inexorablement petit à petit, ce qui n'aurait pas été pour lui déplaire. Mais l'homme contracta son bas-ventre et le détendit. Il recommença ces contractions quelques instants puis il saisit la tête de J. entre ses deux mains et lui dit :

- avale !

Avec un tel ton de jubilation que J. pensa qu’il était en train de jouir. Un petit jet de liquide salé et âcre le surprit, il venait de lâcher quelques gouttes d’urine directement au fond de sa bouche, puis un autre petit jet arriva suivi bientôt par un torrent accompagné d'un soupir d’aise et de contentement du pisseur. Il ne put tout avaler et beaucoup lui ruissela sur la figure, s’introduisant dans ses narines, lui interdisant de respirer. Le flot ne tarissait pas, il dura une éternité tandis que l’air manquait de plus en plus à J., il avait bu une énorme quantité et il était à la limite de ne plus pouvoir se retenir lorsque les deux précédents clients sortirent enfin de la pièce. Quand il eut fini de pisser, J. put enfin respirer. Il était trempé. Il en avait avalé inévitablement une partie.

Mer 2 déc 2009 Aucun commentaire